Uncategorized


La classe de PSI du lycée La Fayette ferme cet été 2011.
Les élèves intéressés par une deuxième année à proximité de Champagne sur Seine ont la possibilité de :

Le rapport de jury de l’année précédente  : ensae_ensiee

C. Jounet et D. Iceta

L’épreuve de TIPE se déroulera à Paris entre le 21 juin et le 17 juillet 2010.

Nous vous rappelons que le fiche synoptique de votre TIPE est à remplir avant le 1er juin 2010 minuit sur le site Internet :

http://www.scei-concours.fr/ rubrique “Fiche synoptique”

Cette fiche synoptique sera ensuite validée par l’un des professeurs ayant encadré le travail ; cette validation sera réalisée (sur Internet) entre le 2 et le 7 juin 2010 minuit.

Quelques conseils à suivre dans la rédaction de cette fiche (tirés du site scei-concours.org) :

La fiche synoptique de l’épreuve commune de TIPE permet au candidat de présenter et de résumer son travail. Elle permet au professeur ayant encadré le travail d’attester qu’il s’agit bien du travail personnel du candidat.

Ce ne sont ni sa longueur, ni sa qualité technique qui feront la valeur de la fiche synoptique, mais plutôt sa logique, sa cohérence, sa concision, son excellence en tant que traduction de l’initiative et de la méthode de travail du candidat.

La saisie sur internet de la fiche synoptique ne permet pas d’y inclure des formules, des figures et de la couleur ; le candidat a cependant toute liberté pour présenter en plus de la fiche synoptique un document incluant de tels éléments.

Pour pouvoir saisir le contenu de votre fiche synoptique, il est nécessaire de sélectionner dans la liste déroulante le nom du professeur ayant encadré votre TIPE et qui devra certifier qu’il s’agit bien de votre travail personnel (M Riboulet ou M Poncet).

Votre fiche synoptique ne pourra comporter que du texte. Pour améliorer la présentation vous aurez la possibilité d’utiliser le gras, le soulignement et la tabulation. Dans l’éditeur vous disposez de trois boutons permettant d’accéder à ces fonctions. Attention, ces boutons mettent en place des « balises html » dont l’effet n’est visible qu’après avoir cliqué sur « enregistrer/visualiser » en bas de l’écran. Remarque : vous pouvez insérer vous-même une balise de début de gras [b] et une balise de fin de gras [/b], il en est de même pour le soulignement [u] et [/u].

La modification de votre fiche synoptique sera possible jusqu’au 01 juin 2010 minuit.
Après validation par le professeur, vous pourrez imprimer votre fiche.

Conseil : attention au copier/coller à partir d’un autre éditeur de texte, la mise en forme ne serait pas respectée et certains caractères risquent de ne pas être reconnus.

Antoine Poncet.

Il sera bientôt temps de penser à l’oral des concours ! … à ce sujet, une lecture attentive du compte-rendu des oraux des différents concours nous semble nécessaire.
 
  • Concernant le concours CCP, les rapports 2009 des épreuves orales sont disponibles aux liens suivants : 
 
 
  • Poursuivons dans la visite des compte-rendus d’épreuves : très complet, nécessitant donc une lecture minutieuse, mais instructive, le rapport 2009 du concours Centrale-Supélec pour la filière PSI, est disponible au lien suivant : 

http://www.concours-centrale-supelec.fr/CentraleSupelec/2009/PSI/2009/PSI/rapCS2009PSI.pdf

  •  Enfin, pour un panorama élargi des épreuves orales, le compte-rendu du concours Mines-Ponts est disponible au lien ci-dessous :

 http://concours-minesponts.telecom-paristech.fr/pages/upload/rapport/rapport.php

Bonne lecture…

Antoine Poncet.

 

Pour mémoire, trouvez ci-dessous un extrait du rapport 2008 pour la Physique-Chimie à CCP ; le rapport 2009 lui est quasiment identique.

  

DEROULEMENT DE L’EPREUVE ORALE DE PHYSIQUE CHIMIE :
 

L’interrogation comporte deux exercices qui doivent être traités tous les deux. Même si le candidat est mal à l’aise sur un des thèmes proposés, il est fortement conseillé de consacrer le même temps à chaque planche lors de la préparation. En effet, il faut s’approprier les deux sujets pour être réactif et efficace aux indications éventuelles de l’examinateur. D’autre part, certains candidats ne lisent pas correctement les énoncés qui contiennent parfois des informations utiles pour traiter l’exercice. Certains sujets sont très progressifs et particulièrement détaillés. Ils peuvent alors paraître longs au premier coup d’oeil, mais ne doivent pas démobiliser les candidats.
Une épreuve orale n’est pas « un écrit au tableau ». Les candidats doivent s’exprimer en rédigeant soigneusement leur tableau sans attendre continuellement l’approbation de l’examinateur. Il n’est pas utile de détailler toutes les parties techniques ou calculatoires d’un exercice. Il est souvent plus opportun d’en tracer les grandes lignes et de commenter le résultat obtenu, ou de délimiter la validité du modèle proposé. L’analyse du phénomène doit toujours primer devant l’attitude qui consiste à piocher dans un réservoir de formules.

 
Le candidat se présente devant la salle qui est indiquée sur sa feuille de passage sans attendre la dernière minute. Avant d’entrer, il prépare sa carte d’identité (récente si possible) ou son passeport, sa convocation et un stylo. Les feuilles de brouillon sont fournies par les membres du jury.   

Ensuite, l’examinateur le fait entrer, il dépose ses affaires y compris son téléphone portable et sa calculatrice. Après la signature des documents administratifs, il reçoit les brouillons ainsi que deux sujets. Ils doivent être traités tous les deux. En général, l’un porte sur le programme de physique de 2ième année et l’autre aborde le programme de chimie des deux années ou le programme de physique de 1ière année. L’étudiant dispose alors d’environ 25 minutes pour la préparation, pendant qu’un autre candidat expose au tableau.
 
 A la fin de la préparation, il passe à son tour au tableau en récupérant, si besoin est et sur autorisation de l’examinateur, sa calculatrice pour les applications numériques. Il dispose à nouveau d’environ 25 minutes d’exposé à partager équitablement entre les deux exercices.
Puis l’épreuve se termine, le candidat efface son tableau, l’examinateur récupère les brouillons et rend au candidat sa pièce d’identité et sa feuille de présence émargée.
Voici quelques recommandations qui devraient éviter certains dysfonctionnements :
– Les candidats doivent impérativement respecter les horaires indiqués sur les convocations de façon à ne pas perturber le bon déroulement des interrogations.
 

RESULTATS :

Il n’y a pas d’évolution notable des moyennes générales de l’oral de physique et chimie ces dernières années. La moyenne globale est de l’ordre de 10/20. Les candidats sont plus à l’aise sur les questions portant sur le programme de physique de deuxième année, excepté les chapitres de physique appliquée spécifique à cette filière ! Il y a toujours des lacunes à propos du programme de physique de 1ière année. Les progrès que nous avions notés l’année dernière en chimie ne furent qu’éphémères.

 ATTITUDES DES CANDIDATS :

Nous remercions la très grande majorité des candidats pour leur amabilité, leur courtoisie et leur sincérité envers les différents membres du jury.

Néanmoins, même s’il s’agit de quelques cas marginaux et exceptionnels, quelque soit la prestation réalisée, il est inopportun de sortir de la salle en claquant la porte. Par ailleurs, nous rappelons qu’il s’agit d’un oral d’admission en école d’ingénieurs. Par politesse et respect des examinateurs, il convient d’avoir une tenue vestimentaire correcte. Le port d’un pantalon déchiré, d’un short ou de tongs ne semble pas adéquat à la situation.

  

CONSEILS :
 
 L’esprit des sujets proposés par les membres du jury se situe dans la lignée des formations dispensées dans les écoles du Concours Communs Polytechniques. Différentes compétences sont évaluées. L’ancrage de cet oral dans le concret évalue le sens physique des candidats, des questions d’ordre expérimental jugent de leur sens pratique, des démonstrations de cours testent leurs connaissances. – En optique géométrique, les montages qui utilisent les lentilles divergentes sont toujours sources d’erreurs. Par ailleurs, il faut savoir appuyer son raisonnement sur une figure claire et lisible.
 En chimie :  Statistiquement, un candidat sur deux est interrogé sur de la chimie. On trouve encore quelques élèves particulièrement réfractaires, et c’est tant pis pour eux ! Les prestations sont très hétérogènes.
 
 
 
 
PROBLEMES RENCONTRES :
  
Voici les points qui ont posés le plus de difficultés aux candidats :
 
En physique de première année : 
– En thermodynamique, les systèmes et les transformations sont souvent mal définis. Il y a souvent un manque de rigueur dans les notations concernant les transformations élémentaires (W au lieu de deltaW, ou Q au lieu de deltaQ), ce qui abouti à des intégrales sans élément différentiel. Ces dégradations successives génèrent des non sens.
– En électrocinétique, le traitement des continuités (tension aux bornes d’un condensateur ou courant qui traverse une bobine) est mal maîtrisé.
 Les élèves ont toujours du mal à donner un ordre de grandeur ou à effectuer une application numérique avec une précision de l’ordre de 5 à 10%. Il est étonnant de trouver des candidats démunis devant une évaluation à 5 ou 10% près du type 1/5 !! Par ailleurs, nous rappelons qu’une évaluation n’est pas une fin en soi. Un commentaire physique, une critique ou un rapprochement avec situation analogue est toujours bienvenu.Il y a encore eu cette année des candidats qui ont fait « des impasses » totales sur certains chapitres du programme, et notamment sur ceux spécifiques à la filière P.S.I.. Cette attitude est à proscrire. Il s’en suit une forte disparité entre les notes partielles obtenues aux deux exercices proposés, voir une mauvaise corrélation entre le niveau global de l’étudiant et la prestation réalisée le jour de l’oral.– La mécanique du point pose toujours problème. Les candidats ont du mal à exprimer les vecteurs vitesse et accélération en coordonnées polaires pour un mouvement circulaire. L’étude du mouvement d’un satellite géostationnaire désarçonne la plupart des étudiants (un exemple est donné en annexe).
 
En physique de deuxième année :
Comme les années précédentes, le programme est généralement mieux assimilé. Il y a toujours une faiblesse sur le T.P-Cours concernant le ferromagnétisme ainsi que sur les convertisseurs statiques de puissance (hacheurs).
– L’optique ondulatoire se réduit souvent à l’application de formules. Les aspects physiques sont mal compris. Il est très difficile d’avoir un commentaire en français à propos du principe d’Huygens Fresnel.
– En physique ondulatoire, le traitement technique (choix du type de solution, détermination des conditions aux limites, puis de la solution) est bien maîtrisé. Néanmoins, la grandeur associée à l’onde ou le théorème de superposition inhérent sont mal assimilés.
 – En conduction thermique, la détermination de l’équation de la chaleur par un bilan énergétique clair pose parfois quelques problèmes.
 
– Les téléphones portables sont strictement interdits par le jury. Par le passé, nous avons rencontré des candidats qui ne disposaient pas d’autre montre, voir de calculatrice autre que celle intégrée à leur téléphone portable et qui étaient alors dans l’incapacité de gérer leur temps ou de faire une application numérique. Ce point semble résolu cette année.
 
D’après Hervé Daffix.

 

Comme chaque année, un concours blanc est organisé au mois de mars en classe de PSI ; cette année, le calendrier des épreuves est le suivant :

-Sciences Physiques et Chimiques jeudi 11 mars de 8h à 12h ;

-Sciences Industrielles pour l’Ingénieur  jeudi 11 mars de 13h30 à 18h30 ;

-Anglais vendredi 12 mars de 9h à 12h ;

-Mathématiques vendredi 12 mars de 13h à 17h ;

-Français-Philosophie samedi 13 mars de 8h à 12h.

Toutes les épreuves ont lieu en salle d’examen (à côté du CDI).

Les enseignants de la classe de PSI.

Jeudi 28 janvier, Monsieur Trouchaud, ancien ingénieur Areva (industrie nucléaire) notamment, interviendra en classe de PSI (et de PTSI) dans le cadre d’un exposé « Quels choix d’école ? pour quels métiers ? » et d’un échange avec les étudiants.

Intervenant en tant que membre du CNISF (Conseil National des Ingénieurs et Scientifiques de France, site www.cnisf.org), Monsieur Trouchaud met à profit son temps libre pour partager sa longue expérience du monde industriel avec les étudiants – futurs ingénieurs.

Il se propose de donner son avis éclairé sur les meilleurs choix d’écoles d’ingénieurs en fonction du profil de l’étudiant. Le prestige du nom de l’école ne doit pas être le premier critère d’intégration pour un candidat !! Avant de s’engager dans une formation, l’étudiant doit avoir pris connaissance du contenu des enseignements proposés ; des partenariats de l’école avec les entreprises du monde industriel ; des posssibilités offertes pour des stages de longue durée à l’étranger, voire d’une année de césure (année entière de stage en entreprise entre la quatrième et la cinquième année d’études supérieures). Le CV d’un jeune ingénieur, s’il ne peut bien sûr présenter plusieurs années d’expériences, se doit en revanche de mettre en évidence une certaine ouverture de l’ingénieur vers ce monde industriel actuel (méconnu de ceux qui n’y ont pas travaillé !).

En résumé : deux heures d’interventions pour vous permettre de lever les yeux de votre feuille de cours – temporairement, les concours approchant ! – et pour vous donner des critères objectifs à suivre dans votre avenir d’étudiant.

Antoine Poncet.

Nous attirons votre attention sur les trois manières d’entrer aux Mines de 
Douai au niveau Spé :

 1°) Écrit du Concours commun Mines-Ponts suivi d’un oral spécifique aux 
quatre « Minettes ». Beaucoup de places, d’autant plus que le recrutement en
Sup est en voie d’extinction.

 2°) Écrit du Concours commun Mines-Ponts suivi de l’oral 
Mines-Ponts-Télécom… C’est la nouveauté de l’année et ne concerne pour 
l’instant que quelques places mais cela devrait monter en puissance dans 
les années à venir, voire supplanter 1°).

 3°) Écrit du Concours commun Mines-Ponts suivi de l’oral TPE. Peu de 
places mais avec un statut de fonctionnaire.

 Les autres « Minettes » (dénomination qui devrait donc disparaître), Albi
Alès et Nantes sont aussi concernées par 1°) et 2°) mais pas par 3°).

d’après  Bruno Jeauffroy, UPS.

Antoine Poncet.

La procédure d’inscription aux concours 2010 des grandes écoles d’ingénieurs se fait uniquement par internet entre le samedi 5 décembre 2009 et le vendredi 15 janvier 2010 à minuit :

http://www.scei-concours.fr

Ne vous demandez pas si la procédure d’inscription prend fin le 15 janvier à minuit ou à zéro heure (décalage de 24 heures)… n’attendez pas le dernier moment pour vous inscrire !

Vous retrouvez les précisions relatives à chaque concours sur les notices papier déjà reçues.

Lors de votre inscription, vous devrez préciser le titre de votre partie C du TIPE ; ce titre sera définitif. La fiche synoptique sera, quant à elle, à renseigner bein plus tard :  fin mai – début juin.

Antoine Poncet.

Les notices d’instructions relatives au concours Centrale-Supélec 2010 et les rapports de jury 2009 du même concours, sont disponibles sur le site internet :

http://centrale-supelec.scei-concours.fr

Il n’y aura pas de convocation « papier » pour l’écrit : chaque candidat dispose sur internet de son dossier et des renseignements sur son lieu de passage ; de même, l’emploi du temps d’oral de chaque candidat admissible sera disponible sur internet.

Antoine Poncet.

Mercredi 18 novembre prochain, quatre scientifiques de renom nous font l’honneur de quatre conférences au palais des rencontres de Champagne-sur-Seine.

Dans le cadre de la semaine de la Science, ils développeront des sujets divers sur le thème des surfaces (thème de l’épreuve de TIPE aux concours 2010).

C’est l’occasion d’assister à quatre conférences de haut niveau « à domicile » et de voir « la Science en train de se faire » !

L’affiche présentant ces quatre conférences est au lien suivant :

AFFICHE_JDS_2009

et vous retrouverez la présentation des quatre conférences au lien suivant :

Présentat..

Nos quatre intervenants occupent les fonctions de recherche indiquées ici :

RODITCHEV Dimitri, directeur de recherches au CNRS, Institut des Nano-Sciences de Paris

CLANET Christophe, directeur de recherches au CNRS, Chercheur à l’Ecole Polytechnique

LOGNONNE Philippe, Observatoire de Saint Maur des Fossés

BERNARD Pascal, Enseignant-chercheur à l’IPG Paris

 

 

Antoine Poncet et Marc Hursin.